AMIPERAS a.s.b.l. carrières et emploi

Voilà 59 années que notre amicale AMIPERAS s’emploie à soutenir les personnes retraitées, âgées et solitaires, à rompre leur isolement et à leur prêter conseil et assistance dans leurs aspirations sociales.

En effet, l’engagement de l’AMIPERAS asbl est essentiellement à vocation sociale et sociétal, caractérisé par l’anagramme CASA: « Conseil Aide Soutien Assistance » .

Fondée le 30 novembre 1963, notre Amicale des Personnes Âgées, Retraitées et Solitaires est l’association la plus puissante du pays et elle est devenue un élément incontournable du paysage social de notre pays, grâce à son réseau de sections locales qui quadrille le territoire. C’est ainsi qu’elle regroupe près de 6% de la population totale, soit environ 30% de la population des seniors.  

C’est sous l’impulsion de son fondateur, feu Monsieur Jean-Pierre THOMA, relayée par le conseil d’administration de l’époque et par ses équipes successives, que furent fondées les sections locales; la dynamique de ce mouvement d’extension de l’association partant clairement du sommet et non de la base de l’organisation.

Un but majeur de notre Amicale est de promouvoir un changement de mentalité par rapport au troisième âge et de susciter une prise de conscience de l’apport non-négligeable de cette frange de la population contribuant à l’intérêt général de notre société.

Il s’agit ni plus ni moins du positionnement et du rôle de nos seniors dans une constellation sociologique en pleine mutation pour permettre au troisième âge de faire profiter l’ensemble de la société de son expérience et de ses compétences.

Dès sa constitution, l’Amiperas a levé une cotisation qui était perçue auprès de chaque membre, cotisation dont le montant était partagé entre la section locale et la centrale. Pour mémoire, tant le montant de la cotisation que la clé de répartition sont fixés par une décision de l’assemblée générale des délégués, de laquelle émanent tous les pouvoirs.

Les délégués des sections ont marqué leur accord sur ces décisions, d’autant plus que les sections locales ont le loisir d’organiser des manifestations telles que tombolas et fêtes locales et ce, à leur bénéfice exclusif alors que de telles organisations sont interdites à la centrale.